Masse 20192020-07-01T11:40:53-05:00

Description du projet

Masse 2019 : Ménard, Giannini, Castonguay

Une incursion dans le monde des musiques électroacoustiques. Plongée dans le noir, au coeur du son et de ses espaces virtuels. Le haut-parleur est l’interprète principal de cette programmation et son jeu est tout en nuance ; ils sont seize à former l’effectif du Studio multimédia du Conservatoire et à travers eux, les artistes à l’honneur donnent à entendre des timbres singuliers, ouvrent la voie à des paysages imaginaires et explorent les limites de notre perception.

De la poésie faite son de Xavier Ménard au naturalisme de Nicola Giannini jusqu’à l’expérience sensorielle offerte par Stéphanie Castonguay, le concert de ce soir, vignette sur les plus récentes pratiques en musique numérique.

Le parcours de cette édition se déroule en trois acte. D’abord, Xavier Ménard, accompagnée de Samuelle Laberge à la clarinette, présente Nos ailes trillent, une pièce mixte aux échos interdisciplinaires. Basée sur le texte Brûlure et lumière du poète Jean-Pierre Gaudreau (lui-même basé sur le 2e quatuor à cordes du compositeur György Ligeti), l’oeuvre de Ménard mêle théorie littéraire et électroacoustique et explore les liens unissant sons et images dans le subconscient de l’auditeur

Ensuite, les lumières s’éteignent sur For Hannah, oeuvre acousmatique de Nicola Giannini basée sur des enregistrements sonores du cobra royal (Ophiophage Hannah). L’approche quasi scientifique du compositeur dans sa recherche lui aura permit d’approfondir les aspects viscéraux qui unissent l’être humain et la nature. Sa fascination pour les sons émis par le cobra se traduit ici en une musique sinueuse, renforcée par une spatialisation sonore qui fait plein usage du potentiel de l’acousmonium du Conservatoire.

Enfin, Stéphanie Castonguay réillumine la salle avec la performance Scanner Me, Darkly. En modifiant des panneaux solaires et de vieilles têtes de scanners, elle transforme la lumière d’appareil désuets en pulsation sonore, en rythmes et polyrythmies complexes. L’artiste explore ainsi la matérialité de nos technologies et les phénomènes physiques qui s’y rattachent dans une performance hypnotisante et énergisante.

  • membres : à partir de 10$

  • général : à partir de 15$

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Masse 2019 : Ménard, Giannini, Castonguay

Une incursion dans le monde des musiques électroacoustiques. Plongée dans le noir, au coeur du son et de ses espaces virtuels. Le haut-parleur est l’interprète principal de cette programmation et son jeu est tout en nuance ; ils sont seize à former l’effectif du Studio multimédia du Conservatoire et à travers eux, les artistes à l’honneur donnent à entendre des timbres singuliers, ouvrent la voie à des paysages imaginaires et explorent les limites de notre perception.

De la poésie faite son de Xavier Ménard au naturalisme de Nicola Giannini jusqu’à l’expérience sensorielle offerte par Stéphanie Castonguay, le concert de ce soir, vignette sur les plus récentes pratiques en musique numérique.

Le parcours de cette édition se déroule en trois acte. D’abord, Xavier Ménard, accompagnée de Samuelle Laberge à la clarinette, présente Nos ailes trillent, une pièce mixte aux échos interdisciplinaires. Basée sur le texte Brûlure et lumière du poète Jean-Pierre Gaudreau (lui-même basé sur le 2e quatuor à cordes du compositeur György Ligeti), l’oeuvre de Ménard mêle théorie littéraire et électroacoustique et explore les liens unissant sons et images dans le subconscient de l’auditeur

Ensuite, les lumières s’éteignent sur For Hannah, oeuvre acousmatique de Nicola Giannini basée sur des enregistrements sonores du cobra royal (Ophiophage Hannah). L’approche quasi scientifique du compositeur dans sa recherche lui aura permit d’approfondir les aspects viscéraux qui unissent l’être humain et la nature. Sa fascination pour les sons émis par le cobra se traduit ici en une musique sinueuse, renforcée par une spatialisation sonore qui fait plein usage du potentiel de l’acousmonium du Conservatoire.

Enfin, Stéphanie Castonguay réillumine la salle avec la performance Scanner Me, Darkly. En modifiant des panneaux solaires et de vieilles têtes de scanners, elle transforme la lumière d’appareil désuets en pulsation sonore, en rythmes et polyrythmies complexes. L’artiste explore ainsi la matérialité de nos technologies et les phénomènes physiques qui s’y rattachent dans une performance hypnotisante et énergisante.

  • membres : à partir de 10$

  • général : à partir de 15$

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MASSE : Ménard, Giannini, Castonguay

Une incursion dans le monde des musiques électroacoustiques. Plongée dans le noir, au coeur du son et de ses espaces virtuels. Le haut-parleur est l’interprète principal de cette programmation et son jeu est tout en nuance ; ils sont seize à former l’effectif du Studio multimédia du Conservatoire et à travers eux, les artistes à l’honneur donnent à entendre des timbres singuliers, ouvrent la voie à des paysages imaginaires et explorent les limites de notre perception.

De la poésie faite son de Xavier Ménard au naturalisme de Nicola Giannini jusqu’à l’expérience sensorielle offerte par Stéphanie Castonguay, le concert de ce soir, vignette sur les plus récentes pratiques en musique numérique.

Le parcours de cette édition se déroule en trois acte. D’abord, Xavier Ménard, accompagnée de Samuelle Laberge à la clarinette, présente Nos ailes trillent, une pièce mixte aux échos interdisciplinaires. Basée sur le texte Brûlure et lumière du poète Jean-Pierre Gaudreau (lui-même basé sur le 2e quatuor à cordes du compositeur György Ligeti), l’oeuvre de Ménard mêle théorie littéraire et électroacoustique et explore les liens unissant sons et images dans le subconscient de l’auditeur

Ensuite, les lumières s’éteignent sur For Hannah, oeuvre acousmatique de Nicola Giannini basée sur des enregistrements sonores du cobra royal (Ophiophage Hannah). L’approche quasi scientifique du compositeur dans sa recherche lui aura permit d’approfondir les aspects viscéraux qui unissent l’être humain et la nature. Sa fascination pour les sons émis par le cobra se traduit ici en une musique sinueuse, renforcée par une spatialisation sonore qui fait plein usage du potentiel de l’acousmonium du Conservatoire.

Enfin, Stéphanie Castonguay réillumine la salle avec la performance Scanner Me, Darkly. En modifiant des panneaux solaires et de vieilles têtes de scanners, elle transforme la lumière d’appareil désuets en pulsation sonore, en rythmes et polyrythmies complexes. L’artiste explore ainsi la matérialité de nos technologies et les phénomènes physiques qui s’y rattachent dans une performance hypnotisante et énergisante.

  • membres : à partir de 10 $

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