Iehoel Brault

Iehoel Brault est artiste-chercheur·se transdisciplinaire, questionnant la fonction du corps — et plus spécifiquement de la peau — comme véhicule synesthésique. Porté·e tout d’abord par un besoin de résonance avec le monde, Iehoel recherche par l’art comment peuvent s’harmoniser le corps, l’altérité de genre et la spiritualité à une époque contemporaine. En éprouvant physiquement et mentalement, en situation de performance, des positions corporelles instables, tendues, voire même douloureuses, iel cherche comment l’état intéroceptif peut être générateur de transformations intérieures. Iehoel souligne ainsi les liminalités similaires qui existent entre religion et art. Membre-étudiant·e du Groupe de recherche interuniversitaire sur le Tibet et l’Himalaya (GRITH), ses recherches portent notamment sur des interrogations concernant les parallèles qui existent entre les théories de la performance en art et la pratique du Yidam/Ishta-devata dans la production des thangka.

Iehoel Brault

Iehoel Brault est artiste-chercheur·se transdisciplinaire, questionnant la fonction du corps — et plus spécifiquement de la peau — comme véhicule synesthésique. Porté·e tout d’abord par un besoin de résonance avec le monde, Iehoel recherche par l’art comment peuvent s’harmoniser le corps, l’altérité de genre et la spiritualité à une époque contemporaine. En éprouvant physiquement et mentalement, en situation de performance, des positions corporelles instables, tendues, voire même douloureuses, iel cherche comment l’état intéroceptif peut être générateur de transformations intérieures. Iehoel souligne ainsi les liminalités similaires qui existent entre religion et art. Membre-étudiant·e du Groupe de recherche interuniversitaire sur le Tibet et l’Himalaya (GRITH), ses recherches portent notamment sur des interrogations concernant les parallèles qui existent entre les théories de la performance en art et la pratique du Yidam/Ishta-devata dans la production des thangka.

Iehoel Brault

Iehoel Brault est artiste-chercheur·se transdisciplinaire, questionnant la fonction du corps — et plus spécifiquement de la peau — comme véhicule synesthésique. Porté·e tout d’abord par un besoin de résonance avec le monde, Iehoel recherche par l’art comment peuvent s’harmoniser le corps, l’altérité de genre et la spiritualité à une époque contemporaine. En éprouvant physiquement et mentalement, en situation de performance, des positions corporelles instables, tendues, voire même douloureuses, iel cherche comment l’état intéroceptif peut être générateur de transformations intérieures. Iehoel souligne ainsi les liminalités similaires qui existent entre religion et art. Membre-étudiant·e du Groupe de recherche interuniversitaire sur le Tibet et l’Himalaya (GRITH), ses recherches portent notamment sur des interrogations concernant les parallèles qui existent entre les théories de la performance en art et la pratique du Yidam/Ishta-devata dans la production des thangka.

Événements

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